En construction

 

 

  1. La dépression est l’un des troubles les plus fréquents consécutifs aux violences conjugales (Campbell, 2002 ; Dutton et al., 2006).

(1) Campbell, J. C. (2002). Health consequences of intimate partner violence. Violence Against   Women II, 359, 1331-1336.

(2) Dutton, M. A., Green, B. L., Kaltman, S. I., Roesch, D. M, Zeffiro, T. A., & Krause, E. D. (2006). Intimate partner violence, PTSD, and adverse health out comes. Journal of Interpersonal Violence, 21(7), 955-968.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • le syndrome des apnées du sommeil (SAS) semble plus fréquent chez les personnes présentant un SAS (1).

il semble que les liens problématiques soient le sujet le plus fréquemment amené par les patients ((2) Horowitz, Rosenberg, Baer, Ureno&Villasenor, 1988).

Bibliographie

(1) Association of Obstructive Sleep Apnea With the Risk of Affective Disorders; Jong-Yeup Kim, MD, PhD1,2; Inseok Ko, MS2; Dong-Kyu Kim, MD, PhD3,4; JAMA Otolaryngol Head Neck Surg. Published online September 12, 2019. doi:10.1001/jamaoto.2019.2435

(2) (Horowitz, Rosenberg, Baer, Ureno&Villasenor, 1988).